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Martina Stoessel

10 ans après... UPDATE

10 ans après... UPDATE

Quoi de neuf ?


Si tu passes par là, c'est certainement que tu fais partie de la team "V-lovers" du début ou que tu es tombée sur ce blog il y a maintenant des années de ça et tu t'es demandé ce qu'il en restait. Ou peut-être rien de tout ça, mais en tout cas tu lis ce post et ça me fait extrêmement plaisir de te voir.

Alors qu'on vient tout juste de fêter les 10 ans du début de la série Violetta qui pour moi a carrément créé un tournant dans ma vie, je suis repassée par ici en me demandant combien de temps s'est écoulé depuis la création de ce blog. Devine quoi ? Cela fait presque 8 ans ! Et en 8 ans, beaucoup de choses se sont passés.

D'abord laisse-moi répondre à une question que, peut-être, tu te poses depuis un moment.
Est-ce que je continue d'écrire ? Ahah, grand mystère ! La réponse est un grand OUI. Après avoir eu besoin d'une pause pendant presque un an, je me suis remise à écrire en 2018 et j'ai écris mon premier livre qui n'est en rien une fan-fiction puisque que pour la première fois, j'ai crée mon propre univers, mes propres personnages et 800 pages après, Amandine et Manon (tu sais, celles que tu lisais en commentaire sous la fiction Innocente à l'époque), se sont concertées pour m'offrir une version imprimé du livre. Et aujourd'hui... Attends, laissons un peu de mystère :D.

Où est-ce que j'en suis ? 
Tu le sais peut-être, quand j'ai laissé de côté ce blog je rentrais tout juste au lycée, j'avais quinze ans et beaucoup de choses à faire de ce côté-là. Aujourd'hui j'ai presque 21 ans, j'ai eu mon bac littéraire, je suis en train de finir ma licence de LLCER Espagnol et je suis actuellement en Espagne où je vis depuis septembre. Maintenant, si tout se passe comme prévu, je suis en train de faire les démarches pour entrer en Master pour passer le CAPES et devenir professeure d'espagnol, à mon tour. Quand je te disais que Violetta avait marqué un tournant dans ma vie, je ne rigolais pas ! Cette série, et tout ce qui en ont découlés, m'a donné deux passions qui m'ont amenés à accomplir des choses dont je ne me passais même pas capable: écrire et parler presque courant l'espagnol. Alors même si je n'ai pas encore atteint tous mes objectifs dans ces deux domaines, j'ai toujours autant d'ambition et j'essaie de me donner à 200% dans tout ce que j'entreprends. Peut-être qu'un jour, ça paiera. 
Evidemment, je suis toujours Tini, ses albums, son actualité, je n'ai jamais arrêtée. Et je pense que ça ne s'arrêtera jamais. 

Une bonne nouvelle ?
Même si je continue d'écrire, j'ai complètement disparue des sites de publications publiques. Pourquoi ? Je suppose par manque de confiance en moi, par peur du jugement et le manque de régularité à cause du temps que je n'ai pas. Mais ça ne veut pas dire que j'écris moins ! Le livre dont je te parlais plus haut, Trace-Moi, fait 850 pages et le tome 2 (que je n'ai pas encore achevé, oups ^^) en fait au moins 500. Et ça, c'est juste un écrit parmi tant d'autres ahah ! Seulement, jusque-là, je ne me sentais pas de reprendre les publications et j'avais besoin de m'entraîner avant de montrer mes écrits. Trace-Moi étant désormais derrière-moi le temps que je lui trouve une fin digne de ce nom, je travaille depuis plus d'un an maintenant sur un nouveau projet (mon dieu, le temps passe si vite).

Et ce projet, si tout va bien, devrait d'ici peu se retrouver sur Wattpad parce que, oui, je reprends les publications ! Tout ce que je te peux dire, même si rien n'est encore officiel, c'est que cela change de tout ce que j'ai pu écrire auparavant. Quoi ? Tu veux un petit avant-goût ? Rah. Bon... Après tout, je te dois bien ça !

Si tu veux en savoir plus, découvrir les moodboard du roman, des personnages et comprendre qui est le responsable de tout ça, je t'invite très fortement à te rendre sur le Instagramme que Manon et Amandine s'occupent de maintenir à jour en attendant la publication officiel de cette nouvelle histoire. Tout ce que je peux te dire c'est que parfois, les apparences sont très trompeuses... Et séduisantes ! (Retrouve toutes les informations juste ici) 

Le mot de la fin...

Je ne pensais pas refaire une publication ici, vraiment pas. J'ai laissé le blog intact toutes ces années afin d'en garder une trace et que tout ceux qui ont vécus cette période si spéciale avec moi puisse y revenir si l'envie les prenait. Et aujourd'hui, à l'occasion des dix-ans de Violetta, je suis passées par là après une petite conversation avec mes acolytes de cette époque, Amandine et Manon et quand j'ai vu sur les statistiques que lors du confinement beaucoup d'entre vous sont revenus par ici et que, depuis, plus un mois ne se passe sans qu'une quinzaine de visites viennent animer cet espace, je me suis dis qu'un petit update pourrait être sympa.

Alors laisse-moi savoir si tu es revenue, qui tu es, comment tu as atterrie là ? Et si on replongeait un peu dans le passé ? Je suis curieuse, n'hésite pas à commenter ce dont tu as envie mais, plus que tout, je suis extrêmement ravie de te revoir ! 

Et la Coralie d'il y a presque huit ans, celle d'il y a six ans qui a laissé derrière elle cette étape de sa vie et l'actuelle te remercie pour tout ce qu'il s'est passé depuis le début de ce blog. Tu ne t'en rendras peut-être jamais assez compte mais tu as vraiment donné un sens à ma vie et tout ce qui est écrit sur ce blog est à jamais gravé en moi.

MERCI 
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#Posté le mercredi 18 mai 2022 06:09

Modifié le mercredi 18 mai 2022 06:25

Innocente : Chapitre 9 : Saison 2 : Fin

Avant de lire ce dernier chapitre, et afin de ressentir ce que j'ai essayé de mettre en mot, je te demande de cliquer les petits c½urs et de mettre la musique aux moments définit, ainsi que de la rejouer si elle est fini avant la fin de la lecture ^^
Merci !

Innocente : Chapitre 9 : Saison 2 : Fin




Chapitre 9
 
♡
 
Ses mains sont congelées, totalement. Et pourtant, elle dort, comme si de rien n'était. Elle a l'air si paisible... Mes lèvres n'ont pas quittées sa main depuis une heure. Je n'ai encore pas parlé. Je ne sais quoi dire. Je ne pleure plus, parce que j'ai trop pleuré. Je suis exténué mais resterais à ces côtés jusqu'a son réveil. Je soupire pour la énième fois de la journée et détourne le regard deux minutes, il fait nuit et pourtant, la vue sur la ville est magnifique. Je remarque, en tournant de nouveau la tête, une lettre à mon intention sur la table de chevet. Je lâche la main de ma moitié pour la saisir et la dépliée. C'est elle qui la écrite.
 
"Jorge,
Je veux d'abord que tu saches que tu ne fais pas partie de ce que j'ai fais. Mon acte n'était pas ta faute. Oui, tu y a peut être un peu joué, mais tu n'en es pas la raison. Nous sommes quittes, non ? Je n'ai que ce que je mérite. Je pars en paix, je suis contente. Tu sais que la vie n'est tendre avec personne, moi c'est moi qui l'est bousillée. Tout aurait pût être beaucoup mieux, et tu le sais. Si je n'avais pas merdé au centre, tout serait plus beau. Et puis il y a eu toi. Et puis mon père. Ma mère. Diego. Macarena... Et moi. Je ne veux pas qu'on essaye de me sauver. Je ne veux pas vivre. Mais tu sais quoi ? Je ne regrette absolument rien. Ma vie était génial, tu étais là et tu le seras toujours. D'une manière ou d'une autre, tu seras avec moi."
 
Un oeil passe sur son visage, je secoue la tête. Je ne l'abandonnerais pas, plus maintenant. Et je ne ferais pas ce qu'elle demande, certainement pas. Je ne la laisserais pas mourir. Mon coeur me fait mal, je ne sens plus mes pulsations comme avant et j'ai du mal à respirer. C'est peut être ça, de perdre la vie ? Prenant de nouveau sa main, je me replonge dans sa lecture.
 
"En faite, je me suis toujours demandée, ce qu'il se passait dans ta tête quand tu me voyais, quand tu me regardais. C'est bizarre, puisque des deux, c'est moi qui suit folle. Ce sera mon seul regret, peut être. Ne pas savoir ce qui te viens à l'esprit quand tes yeux rencontre les miens.
Je te jure que je ne te hanterais jamais, je resterais là, à te surveiller sans ne jamais te faire peur. Je ferais de mon mieux afin de te garder en sécurité. Et puis je te regarderais vieillir. Je protégerais tes enfants et ta femme, sauf si c'est Macarena, et ferais en sorte que la vie vous épargne les cruels moments. Je t'en ai assez fait subir."
 
-Si tu savais à quel point être avec toi est magique, Tini.
 
Mes yeux s'humidifient, je la contemple alors. Une princesse, c'est exactement ça. Elle ressemble à la belle au bois dormant. Sauf qu'elle ne dors pas. Ou je n'en sais rien.
 
"Et cette dernière partie va me faire pleurer mais je veux que tu le sache, que tu le ressentes.  Je ne sais absolument pas ce que j'ai fait pour pouvoir bénéficier d'un tel cadeaux du ciel. Jamais je n'aurais imaginé avoir un petit ami, c'est assez vrai. Mais quelqu'un comme toi. Jamais. Je n'arrive même pas à comprendre comment tu as fais pour me supporter. Pour me calmer, pour m'aimer tout simplement. Je ne me supporte pas moi même, c'est pour dire. Je sais que lorsque je regarde dans tes yeux, dans cette mer, cet océan émeraude si profond, je perds pied. Je me déconnecte de la vie un instant, tout en sentant mon coeur défaillir. Ma peau, mes sens sont en éveils quand ta voix fait vibrer l'air. Quand tu bouge, et que je t'observe quand tu ne le remarque pas, je frissonne rien en que te voyant marcher, prendre des objets, faire les choses de la vie. Je t'admire, Jorge. Je suis en total admiration. C'est insensée, totalement. Mais je ne peux pas vivre sans toi, je ne peux pas respirer quand tes lèvres s'approchent des miennes, quand tes mains se posent sur ma taille, mon cou, mes joues. Ca me coupe le souffle. Je suis totalement passionné par toi, tu es ma raison de vivre. Je suis tienne. Je ne l'ai pas voulu, ça m'est tombé dessus. Mais je suis tienne. Et je le resterais, vivante ou morte."
 
Et de nouveau, j'éclate en sanglot. C'est plus fort que moi, si je n'évacue pas cette pression, elle m'anéantira. Sans trop prêter attention à mes gestes, je m'allonge contre le corps de celle qui fait de moi un homme et la sert contre moi. Posant une main sur sa joue, je ramène son visage contre le mien, baigné de larmes.
 
-Je te protégerais, mon amour... Je te protégerais de tout. Mais reviens. Je t'en supplie, Martina.
 
Mes sanglots redoublèrent et je me mis à convulser légèrement, ne retenant plus rien. Elle ne pouvait être morte, elle ne pouvait partir. Ca ne pouvait être fini. Mais c'est dans ce genre de moment, que je me rend compte, réellement, que Martina est une part entière de ma vie. Plus que ça, elle est toute ma vie. C'est pour elle que je continue, que je me bats. Mais c'est aussi elle qui à le pouvoir de m'abattre, sans parler. Et c'est exactement ce qu'il se passe. Après avoir passer trois heures à lui parler de notre vie futurs, de nos enfants et de nos projets, je m'endors, serrant son corps inerte et froids, contre le miens.
 
***

Trois semaines. Ou quatre ? Je ne sais plus. Je passe mes journées à l'hôpital s'est beaucoup trop dur de sortir de là, sans elle. Je passe des nuits horribles dans le siège à côté d'elle, mais ce n'est rien comparé à la douleur qui m'accable à chaque fois que je la regarde. Je suis responsable de ça. J'en suis le responsable direct. Ce n'est pas rare que je pense la voir bouger, mais ce n'est qu'une pure illusion et rien d'autre. Je rêve de ses lèvres, j'en rêve jour et nuit. Et je n'en peux plus. J'ai besoin d'elle, j'ai besoin de voir ses pupilles, son visage me sourire. J'ai envie de tirer ces putains de fils qui sont sur sa poitrine, de la lever et de la collées à moi. Je veux entendre sa voix. Je la veux. Elle et personne d'autre. Ce poids me ronge. Macarena est déjà passée, elle s'est mise à pleurer mais je l'ai simplement ignorée. On est tout les deux en causes. Sauf qu'elle, si des larmes coulent sur ces joues, c'est simplement parce qu'elle à peur de la culpabilité qui lui retomberait dessus si Martina venait à partir. Mais je lui est rappelé, froidement, que si je me mettais à pleurer, moi, c'est parce que je ne serais comment vivre sans elle, c'est parce que, cette fille est tout pour moi et parce que j'ai l'impression de perdre ma vie quand je la vois ainsi. Et non parce que je culpabilise, parce que je ne pleure pas dans ce cas. Je souffre, en silence.
 
♡


Mes yeux se sont fait trop lourds pour moi, j'ai été obligé de somnoler, peut être une heure, ce jour là. Une heure cinquante sept, je me rappellerais toujours de ce moment. J'ai sursauté, lorsque la machine, affichant le battement de coeur de Tini, s'est emballée. Un trait, horizontale et constant, à envahi l'écran, provoquant chez moi, un stress impossible à vivre. Je n'ai pas attendu une seconde et j'ai couru jusque dans le couloir. Mes poumons se sont vidés de tout l'air que j'avais inspiré lorsque je me suis mis à hurler pour avoir de l'aide. Revenant dans la chambre, j'ai posé mes mains sur le visage de ma moitié et je lui ai crié de se réveiller, de revenir. Maintenant. Ses yeux se sont alors ouvert, et un battement à été signalé par la machine. Une larme à roulé sur sa joue et un sourire s'est formé sur ses lèvres. Ses si belles lèvres, rosées et douce, se sont entrouverte. Et puis, il n'y avait plus rien. Absolument rien. A part le bruit incessant de cette machine. Son cri, horrible. J'ai arrêté d'hurler à ce moment la. Rien ne sortait de mes lèvres, à part des gémissements incontrôlés de terreurs et de stupeurs. Dans mes mains, elle était dans mes mains lorsqu'elle est partit. Et elle me fixait, encore. Ses yeux était dans les miens, elle me regardait, mais elle n'était plus là. Le personnel médical à été obligé de me poussé pour entamer la réanimation. Mais je savais que c'était trop tard. Dans le couloir, je me suis accroupi, et j'ai posé mes mains sur mes joues. Elle venait de partir. Elle ne reviendrait pas. C'est bizarre ce genre de sensation. Vous sentez cette personne, comme si elle était à côté de vous à vous regarder mais elle n'est plus là. Elle est dans l'au-delà et vous le savez. Mais elle est vivante à vos côtés. Et bien c'est ça. Tini est là, mais elle est partit. J'ai attendu une heure et demi, à regarder le plafond, lorsque le médecin est venu devant moi. Il m'a regardé fixement. Et il à simplement demander pardon. C'était sa décision, je n'ai pas voulu la respecté, mais je savais déjà qu'elle était têtue.
 
-Heure du décès, deux heures vingt-sept, ai-je entendu en entrant de nouveau dans la chambre.
 
Je suis resté seul, après le départ des médecins. Ma main caressait encore ses cheveux. Je lui ai demandé mille fois pardon. Mais cette fois, je m'en suis rendu compte. Elle était partit, et elle ne reviendrait pas. Tini venait de mourir, dans mes mains.
 
***
 
Une semaine et un jour exactement se sont écoulés. Ma cravate est nouée, cette sensation est horrible. C'est le costume que j'aurais dû porter pour notre mariage. Mais je vais à son enterrement. J'ai accepté de tout payé, absolument tout. Mariana n'a certainement pas les moyens et c'était ma façon de m'excuser de lui avoir enlever sa fille. Même si ce ne sera jamais possible. Quatre hommes ouvrent le cortège en portant son cercueil jusqu'a l'autel. Je suis aux côtés de Mariana, marchant derrière eux. Des dizaines de personnes sont assises sur les bancs de l'église. Et Mechi est là, en larme, juste derrière moi, aux bras de Francisco. Toute cette amitié qu'il y avait entre-elles était incroyable. Nous arrivons à l'autel. Ils la posent. Et nous devons aller sur les bancs, les premiers, qui nous sont réservés. Le prêtre commence sont discours, il parle d'elle comme une soeur. Elle aurait dû devenir ma soeur, celle que je protège envers et contre tous. Mais elle est devenu bien plus que ça. Beaucoup plus que ça. Et j'aurais dû la protéger, mais j'en ai été incapable. Et c'est notre amour qui l'a détruit. Nous allons déposer des bougies sur son cercueil, en coeur. Les portes de l'églises s'ouvrent, brutalement, se faisant retourner toutes les personnes présentes dans l'édifices. Un "putain" sort de ma bouche. Cet homme, les cheveux grisonnants, assez long, s'avancent avec élan vers le cercueil. Il parle, trop fort. Je le reconnais, il à son visage. Il a ses yeux.
 
-Non, prononce t-il sèchement. Non ! Non Martina ! Putain, non !
 
Francisco s'avance vers lui et pose doucement une main sur le torse de cet homme, pour le retenir avant qu'il n'éclate en sanglots.
 
-Papa, dit-il aussi fermement qu'il le pu.
 
Mais ce cinquantenaire ne peux se retenir et éclate en sanglots, dans les bras de son fils. Elle ne l'a jamais vue et il venu à son enterrement. C'est une preuve d'amour incontestable. Mercedes non plu, n'arrive plu à se contenir et se blottit contre moi pour pleurer. C'est beau, c'est fort, mais c'est horrible. Je la sert et caresse ses cheveux blonds, en laissant couler des larmes à mon tour.
 
***

Il est dix-huit heure. Je suis en jogging et simple tee-shirt. Assis devant sa tombe encore fleurie, je tiens en main une lettre tout juste rédigée pour ma famille. Je caresse du bout des doigts, les roses qui ont miraculeusement tenues en cette fin d'hiver. Un mois à passé et je n'ai pas su me reconstruire. Je ne peux vivre sans elle. C'est tout. Alors c'est couteau en main, que je me cisaille la poignet et laisse le sang couler sur les roses blanche que je venais de caresser. Je pleure, mais je suis heureux. Je sais, qu'elle me surveille. Parce que je l'ai sentit, elle était là. Comme si elle ne me lâchait pas. La descente dans le monde des défunts n'allant pas assez vite, je décide d'ouvrir les veines des deux poignets et de couper mes chevilles aussi. La douleur est insupportable, mais le jeu en vaux la chandelle. Je me suis allongé, entre les fleurs et j'ai attendu, deux heures je crois, de devenir trop faible pour garder les yeux ouverts. Alors je les aient fermé. Et c'est une chaleur, douce et incroyablement réconfortante,qui m'a saisit. Un tunnel s'est dressé devant moi et j'ai avancé jusqu'a la lumière blanche. Et sa voix m'appelait. Elle m'a appelé. J'ai couru jusqu'a elle, de toutes mes forces. Et c'est alors qu'elle est apparue. Un sourire à illuminé son visage, comme avant. Sa chevelure brune, magnifique, tombait en cascade le long de ses épaules. C'était elle. En arrivant, je l'ai tout de suite pris dans mes bras. Et je l'ai sentit. J'ai sentit ses bras autour de son cou et ses lèvres sur mon cou.
 
-Je t'ai retrouvé, ai-je alors chuchoté. Je t'ai enfin retrouvé.
-Jorge, pourquoi est-ce que tu as fait ça ? A-t-elle alors demandé.
 
Et j'ai posé mes mains sur son visage incroyablement rayonnant. Je l'ai regardait dans les yeux, et je lui est tout simplement dit :
 
-Parce que la vie sans toi est impossible. Parce que tu me faisait vivre, tu étais ma raison de vivre. Parce que quand tu es partit, j'ai compris. J'ai véritablement compris que je n'étais pas capable d'être seul dans cette épreuve qu'on appelle le quotidien. Parce que, putain Martina, je t'aime. Je t'aime tellement que je pourrais mourir pour toi.
-Mais Jorge, a-t-elle alors dit d'une petite voix, tu es mort.
-Parce que, tu es ma raison de vivre.

Et ces lèvres ont touchées les miennes pour se fondrent ensemble, pour se retrouver. Je l'ai porté et elle a enroulé ses jambes autour de ma taille. Mes doigts ont de nouveaux glissé dans ses cheveux, et  j'étais de nouveaux heureux. Mais quelque chose était resté dans ma mémoire. Lentement, j'ai interrompu notre étreinte et je l'ai posé. J'ai touché la poche de mon jogging et elle était encore la. Alors, je me suis agenouillé et j'ai sortit la petite boite de ma poche. Je l'ai ouverte et la bague de cinq caras, dans laquelle j'ai passé absolument toutes mes économies, à brillé de milles feux. Un cri de surprise est sortit de sa bouche et elle s'est exclamé : "Oh mon dieu, Jorge !".
 
-Tu veux m'épousé ? Ai-je alors demandé, la voix tremblotante.
-Mais... Jorge, on ne se marie pas, ici.
-Je me fou d'une cérémonie, Tini. Je me fou d'être inscrit dans un putain de recueil comme époux de quelqu'un. Je veux juste que tu sois ma femme.
-Alors oui, je le veux.
 
Immédiatement, je lui est passé la bague au doigts. Et c'est à ce moment là qu'elle est devenu Martina Blanco. Cette gamine de seize ans que j'ai rencontré, est devenues une femme forte et incroyablement belle. Elle n'est plus la jeune fille qui ne sait plus ou elle en est. Elle est devenue un exemple. Et surtout, elle est devenue ma moitié. Dans ce chemin parcouru, j'ai grandi avec elle et aujourd'hui je suis mort. Mais je suis mort de la plus belle des manières. Je suis mort par l'amour. Je suis mort par cette passion qui nous a prit en otage, tout les deux. Et je suis passé par toutes les étapes de la vie, la plus difficile étant de perdre mon sang, ma moitié, mon essence. Mais aujourd'hui, je vais apprendre encore. Je vais apprendre à l'aimer encore un peu plus, sans les problèmes du quotidien. Je vais grandir, dans les ténèbres. Mais elle sera là, et c'est tout ce qu'il me faut.
 
Aujourd'hui, nous sommes unis dans la mort, et ceux, pour l'éternité.
 
 
Fin

Voilà comment s'achève cette magnifique histoire d'amour. Je ne sais pas si je ferais un épilogue dans lequelle je posterais la lettre de Jorge, dites moi dans les commentaires si vous le voulais ?
En attendant, je veux toutes vos impressions dans vos commentaire, c'est le dernier chapitre, défoulez vous !
Je voulais aussi vous remerciez, d'être aussi présent pour moi ! Merci surtout à Amandine, Manon, Jennifer et Léa d'avoir été là depuis le début de cette fiction et de m'avoir toujours soutenu ♡
Vous avez pas idées à quel point vous comptez !
Voilà, je crois que tout est dit ! En tout cas cette fiction est la première que je termine et c'est aussi celle que j'ai préféré écrire. Je n'oublierais jamais cette histoire, tragique, que j'ai crée. J'ai presque envie de pleurer, en fait :)
Je vous embrasse tous et je vous aimes !
Coralie ♡

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#Posté le samedi 11 février 2017 15:32

Modifié le samedi 11 février 2017 15:42

Innocente : Chapitre 8 : Saison 2 : Jusqu'a ce que la mort nous sépare.



Innocente : Chapitre 8 : Saison 2 : Jusqu'a ce que la mort nous sépare.






Chapitre 8
 
PDV Tini
 
Une heure que ma tête ressemble à un marteau-piqueur et que pourtant je me force à rester éveillé pour le voir. Je stress quand l'orage éclate et que le réveille affiche vingt-deux heures. Clairement, il passe quelque chose.
 
Trois quart d'heures plus tard, la pote d'entrée grince. Je bondis de mon lit et me rue dans le salon tel un animal heureux de revoir son maître. La pluie à mouillé ses cheveux, les gouttes perle encore sur sa nuque. Quand il se retourne, ses yeux s'écarquillent, ses pupilles se retroussent et sa bouche s'entrouvre. Je sais ce qu'il y a. Pourtant mon esprit m'ordonne quand même de le détailler. Ses cheveux ont l'air... Aplatit. Comme si on avait passé ses doigts dedans. Une de ses joues et rose, presque violette en fait, et seulement sur une ligne bien dessiné. Son tee-shirt gris n'est pas rentrée sous son pull-over. Ses baskets pas nouée. Et la ceinture de son Jean et déplacée sur le côté.
 
-Tini...
 
Un sourire se dessine sur mes lèvres et je rigole. De toute façon, je crois que si je ne rigolais pas, je pleurerais. Ses horrible comme mon rire est plat, sans sentiment. Il s'approche, je recule. D'accord je suis peut être folle et prête à être internée, mais quand même. Je ne suis pas conne. Il soupire et ses yeux brillent. Ah, non ! Pas encore ! Je rigole une nouvelle fois, mais cette fois... Je parle.
 
-Non, ah non. Alors là pas question.
-Je suis désolé... Je m'en veux depuis le départ, excuse moi !
-Je veux juste savoir... Qui ?
-Martina, s'il te plait...
-Dis moi, que j'aille me coucher sans angoisses. Je suis exténuer, j'en peux plus.
 
Et je pense que si l'adrénaline et la rage ne m'alimentaient pas, je serais déjà dans les vaps.
 
-Maca. C'était Maca...
 
Je secoue la tête et souris encore. Sans dire un mot, je retourne dans ma chambre et m'allonge dans mon lit. Mes yeux se ferment seuls, mon esprit est brouillé, j'en ai réellement marre d'être en train de vivre un cauchemar.
 
PDV Jorge
 
Je n'ai fermé l'oeil de la nuit, je n'ai tout simplement pas pu. A chaque fois que je fermais les yeux, c'était comme si je revivais mon escapade avec la femme la plus vicieuse du monde. J'avais promis à Tini, que jamais je ne serais un connard après notre première nuit. Je n'ai pas su respecter ma parole. Voilà maintenant une heure que j'arpente les rues de Buenos Aires, seul, les yeux dans le vide. J'ai jeté tout mes vêtements de la veille, je ne supportais plus d'avoir une seule trace de cette soirée. Il est presque quatorze heure lorsque j'arrive de nouveau à l'appartement. Mariana est dans la cuisine et Fran sur le canapé. J'ai entendu dire que Mercedes viendrait dans l'après midi, je suppose qu'elle viens surtout voir Martina. Cette dernière n'est sortit de la chambre depuis hier soir. J'ignore ce qu'elle fait, mais je me suis dis que je n'étais pas en bonne position pour lui exiger des réponses. On frappe à la porte, je me permet d'aller ouvrir. C'est sans surprise que je vois une belle blonde devant moi, un sourire triste sur les lèvres. J'en conclue qu'elle sait tout. Je la laisse me dépasser pour aller embrassé son copain. Je ne peux m'empêcher de les regarder faire. Ce geste, lorsqu'il met la main sur sa joue, je pourrait presque sentir la peau de Tini quand je repense à ça. C'était tellement.. Incroyable, juste génial. Je ne sais même pas si c'est possible de pouvoir qualifié cette sensation. Je secoue doucement la tête quand Mercedes se tient de nouveau devant moi, m'interrogeant du regard. Combien de temps vient-il de s'écouler ? Aucune idée.
 
-Je peux ? Me demande t-elle.
-Pardon, j'ai pas écouté... Je suis désolé Mercedes, je suis un peu ailleurs.
-C'est rien, elle acquiesce avec son sourire rassurant. Et appelle moi, Mechi, s'il te plait. Je voulais juste savoir si je pouvais aller la voir.
-Ok. Euh oui, bien sûr. Tu peux.
 
Elle me sourit et sourit aussi à Francisco. Et la façon dont il me regarde m'indique que lui aussi, doit être au courant. Maintenant c'est clair, je ne ferais plus jamais partit de la vie à Martina. Plus jamais. Il ne me laissera plus ce pouvoir. Pas après ce que j'ai fais. Je passe une main sur mon visage, me rendant compte de ce qu'il m'arrive. J'ai l'impression d'étouffé, comme si, maintenant, tout devenait clair, tout prenait réellement place. J'ai réellement perdu l'amour de ma vie. Ma raison d'être. C'était ma moitié. Elle était mienne. Et moi, à cause d'une stupide robe, j'ai tout foutu en l'air. Tout est entièrement ma faute et jamais, jamais de ma vie entière, je ne m'en remettrai. 
 
 
-MARTINA REVEILLE TOI ! JE T'EN SUPPLIE OUVRE LES YEUX !! FRAN !! FRAN VIENS VITE, JE T'EN SUPPLIE !
 
Mes pupilles s'ouvre en une fraction de seconde et j'échange un regard paniquer avec Francisco. Ni une ni deux, nous courons dans la chambre de sa soeur. La blonde est accroupie au bord du lit, secouant la brune dos à nous, tout en sanglotant. Son copain l'attrape par les bras et l'écarte doucement avant de s'empresser, comme moi, sur l'alitée. Elle à les yeux fermés, on pourrait presque dire qu'elle dort, comme un ange. Seulement elle a le visage trop pâle pour une personne normale. Lorsque je me penche légèrement en avant pour la secouer doucement, je découvre le pire. Sa couette est tachée, non, imbibée de sang et ses poignets tailladés, jusqu'a la moitié de l'avant bras. J'entends les gémissements de Marianna, mais je n'en tient pas compte. Pour le moment, je suis trop préoccupé. Francisco se lève et sort son téléphone de sa poche. Je met mes doigts sur la carotide de la belle brune, histoire de sentir son pouls. Je n'en sens rien. Rien du tout. Le néant. Pire que ça. Je garde mes doigts sur son cou. Rien.
 
-Jorge, dis moi quelques chose, crie presque Francisco.
 
Je secoue la tête. Les yeux dans le vide.
 
-C'est fini, dis-je, les doigts toujours appuyé sur l'artère de celle qui m'a rendu heureux.
-Ferme là d'accord ?! Dis pas des conneries !! Tu l'as ferme ! Je t'interdit d'ouvrir une fois ta gueule pour dire des conneries pareil, d'accord ?!
 
Il est au téléphone, mais il est paniqué. Je suis en plein cauchemar. C'est pire que ça. Je suis en train de perdre la vie. Moi aussi. Sauf que c'est trop douloureux pour moi. Quelques larmes roulent sur ma joue. Il doit se passé une éternité entre le temps ou Fran hurle ses paroles et le moment où un battement tape faiblement sur mes doigts.
 
-Un ! Elle en un ! Un battement, j'en ai sentit un ! Hurlais-je. Dis leurs de ce bouger ! 
 
Je grimpe sur le lit à côté de Martina et la pose sur genoux, sa tête contre mon torse, une de mes mains lui caressant les cheveux, l'autre tenant les siennes, glacées. Francisco à raccroché, il a fait sortir les deux seules femmes de la chambre et cherche brutalement quelques chose dans les tiroirs. J'ai conscience de chuchoter des mots à l'oreille d'une charogne mais je ne peux m'en empêcher. C'est ce qui me fait croire qu'elle est en vie et je ne croirais pas à la fin de sa vie. Je ne pourrais jamais faire sans elle. Jamais. S'approchant à la hâte, Francisco déroule un morceau de gros scotch et l'enroule autour des poignets de sa soeur. Je me dis que ça empêchera le sang de couler encore plus. A partir de ce moment, il n'y a plus un bruit. A part de le chuchotement de mes mots, il n'y a plus rien.
 
***
 
Je suis assis sur une chaise depuis quatre heure. La tête dans les mains, je suis obligé de laisser ces larmes couler le long de mes joues. Je vais devenir fou. Je suis assis sur cette chaise depuis quatre heures et absolument rien ne c'est passé. Je n'ai pas pu dormir, boire, manger, parler. Je suis incapable de faire quoi que ce soit. J'ai préféré rester à l'écart de la famille de Martina, tout simplement parce que je suis incapable de rester digne après ça. Parce que c'est de ma faute. Parce que tout est de ma faute. C'est la troisième fois que j'ai envie de frapper un de ces gamins hurlants dans le couloir, à mes côtés. Mais finalement, nous sommes dans le même état. Je ne sais pas comment faire pour pouvoir vivre à ce moment là. Je peine à respirer. Je suis en sanglots. Je suis faible. C'est même pire que ça. Mon téléphone m'arrache de mon état second et je souffle, histoire de me calmer. C'est peut être Francisco qui a vu le médecin, il a sûrement des nouvelles.
 
-Allô ?
-Oh mon fils ! Je viens d'apprendre...
-Maman ?
-Je suis désolé Jorge, d'accord ? Je te présente toutes mes condoléances.
-Non, maman ! Elle n'est pas morte, d'accord ?! Tu entends ?! Elle n'est pas morte !
-Jorge...
-Non, je ne veux pas savoir, elle n'est pas... Elle est encore avec nous. S'il te plait, maman, ne la condamne pas, pas maintenant. Elle est forte.
-Tu veux que je vienne ? Je peux venir t'épauler si tu veux.
-Non, ça va aller...
-Ce n'est pas une honte d'accord, si tu as besoin de quoi que ce soit...
-Elle va mourir et c'est de ma faute.
 
Maintenant, c'est comme une évidence. Ca m'explose comme ça au visage, comme si maintenant je comprenait qu'elle n'avait aucune chance. Elle est perdue à jamais. Je l'ai condamné. Je pleure de nouveau, de plus en plus. Je me lamente. Je n'aurais jamais pensé être dans cet état un seul jour. Ma mère est au bout du fil et je sens qu'elle s'inquiète.
 
-Je l'ai tué, c'est moi qui est fais ça. Maman, je l'ai assassiné ! C'est à cause de moi.
-Jorge, écoute moi. Tu n'es en aucun cas responsable. Tu n'as pas à te sentir coupable. Je serais là dans deux heures, attend moi, d'accord ?
 
Je ne peux rien articuler avant qu'elle raccroche. Je me laisse tomber contre le mur en face de moi et me recroqueville sur moi même, sanglotant de plus en plus. Ce sentiment de culpabilité me déchire. Je suis déchiré, mon coeur est déchiré, ma tête est déchiré, mon esprit entier est déchiré.
 
***
 
Mon dieu, cette voix me fais un bien fou. Quand je sers ma mère dans mes bras, je ne peux garder mes larmes. Encore une fois je sanglote. Il n'y a rien de plus à dire sur mon état à ce moment là. Je crois que les mots ne sont pas aussi fort que l'on ne le croit. Tout ce que je sais faire c'est pleurer pour sortir toute ma haine envers moi même et serrer ma mère aussi fort que possible contre moi.
 
-Je n'en peux plus, maman. J'ai peur. Je... Je veux remonter dans le temps. Je veux la serrer dans mes bras. Je veux lui dire, encore une fois, que je l'aime. Je veux pouvoir le faire.
-Je sais, mon fils. Je sais.
 
Et nous nous asseyons sur les chaises, côte à côte, sa main sur mon dos.
 
-Que t'ont dis les médecins ?
-Rien, strictement rien. Ils sont enfermé dans une pièce avec elle, ça dois faire six heures. Peut être sept. J'en sais rien.
-Et tu as mangé ?
 
Je secoue la tête et regarde doucement ma mère.
 
-Je suis incapable d'avaler quoi que ce soit.
-Prend toi un café au moins, ça te fera tenir.
-Je ne peux pas maman, je suis incapable de prendre quelques chose.
-Elle n'aimerait pas te voir comme ça.
 
Ce sont les mots de trop, je retombe dans mon chagrins. Retrouvant les sanglots laissés quelques minutes auparavant.
 
***
 
Il est sûrement une heure du matin, ma mère c'est endormie contre moi, mais je n'arrive pas à fermer l'oeil. Cela fait maintenant dix heure que nous sommes tous à l'hôpital, attendant une réponse, une nouvelle. Et nous n'avons rien. Aucun moyen de savoir, de calmer cette pulsion meurtrière qui nous pousse à sombrer vers la folie. J'ai essayé à sept reprise de savoir quelques chose et toujours j'ai eu la même réponse. Ils ne peuvent rien dire. Je pousse un soupir de plus lorsque la silhouette de Francisco se poste devant moi. Je lève la tête. Ses yeux rouges et son visage clair, pâle, ne me surprennent guère. 
 
-Ils l'ont mis en chambre, j'en reviens, chuchote t-il.
-Comment va t-elle ?!
 
Je secoue légèrement ma mère afin qu'elle se réveille et me lève pour me tenir droit face à Francisco.
 
-Elle est inconsciente, il baisse les yeux qui se remplissent de larmes. Ils ne savent pas si elle y arrivera... Peut être qui lui reste une semaine, un mois... Un an... On ne sait pas. On ne sait rien du tout.
-Quel chambre ?
-Deuxième étages, chambre du fond.
 
Je le remercie et fonce vers l'ascenseur. Je ne la laisserais pas une seule seconde de plus seule dans ce cauchemar. Ces conneries sont fini, maintenant je ne l'abandonne pas. Je suis là. Je serais toujours. Et je la rejoindrais toujours. Même si la mort nous sépare. 




***

Hey ! J'espère que ce chapitre vous aura plus §
Je suis désolé de mes retards répétitifs et tout mais j'ai eu des gros problèmes famillaux et c'est pas fini donc je risque d'être encore absente un bout de temps.
Je posterais la suite à 25 kiff et une quinzaine de commentaire.
Donner votre avis, c'est réellement important pour moi ^^
Et je voulais dire un truc aux filles avec qui je suis proches d'habitude, je suis désolé de pas trop vous parlez en ce moment, mais vraiment je suis prise par le temps e<3 Mais je ne vous oublie pas !!
Voilà, gros bisous !!! 
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#Posté le lundi 26 décembre 2016 11:12

Modifié le lundi 26 décembre 2016 11:28

Tag par SoyLuna--Fictions


Tag par SoyLuna--Fictions

Taggée par Ana <3 
Merci ma belle ^^

***

 Règles du Tag : -Poster les règles sur son blog
                        -Dire 11 choses sur soi
                       -Répondre aux 11 questions
                      -Inventer 11 nouvelles questions pour les suivant(e)s
                     -Taguer 8 à 11 personnes et mettre un lien vers leurs blogs

***

11 Choses sur moi :

-Mes amies m'appellent Coco (Parce que c'est mon surnom d'enfance) ou Cora depuis que nous sommes revenu d'Espagne parce qu'un gars n'arrivait pas à dire mon prénom ^^
-J'ai 15 ans
-J'adore lire tout ce qui est à la fois de l'action, du fantastique et de la romance *-*
-J'aime écrire même si parfois ça me dévore...
-J'ai souvent peur que mes meilleures virtuels aient l'impression que je les laisse de côtés ou que j'en aime une plus qu'une autre...
-Je suis une très très grande Fan de Shawn Mendes et de Tini
-J'aime énormément les séries.
-Je rêverais d'être écrivaine de best-seller ou actrice
-Je suis très Timide en réalité.
-J'aime mon blog parce qu'avec lui j'ai rencontrer pleins de belles personnes <3
-Et je crois que nous avons fini ^^

Les 11 questions :

 
"Dans quelle ville tu es née ?"
Valence - Drôme
 
"La couleur de tes yeux et tes cheveux ?"
Yeux marrons et cheveux bruns- châtains ^^
 
"De quoi tu ne peux pas te passer une seule minute ?"
J'hésite... Mes amies et la musique je dirais
 
"Ton film favori ?"
Question impossible, Ana ! Y en à pleins.. Les Twilight loves, Hunger Games, La série des Germes (Amandiiiiine ?), Vampire academy...
 
"C'est quoi ton fond d'écran (portable ou ordi) actuel ?"
Le fond d'écran par défaut ^^
 
"L'endroit où tu adores aller en vacances ?"
A la plage avec ma famille
 
"Si il n'y a plus de réseau et de Wifi chez toi, comment tu réagis ?"
Je réagis pas, j'ai 4G xD
 
"Tu as un tic ou manie bizarre ?"
Euh... Je fais trembler mes jambes H24 , dès que je suis assise 
 
"La chose dont tu es le plus fière ?"
Y en a t-il vraiment une ?
 
"La chose dont tu es le moins fière ?"
Avoir mentit à mes parent ?
 
"Plutôt salé ou sucré ?"
Sucré !!!!! 


Mes 11 Questions :

-Ton prénom et ton âge ?
-Ton passe-temps favoris ?
-Plutôt film d'horreur ou film romantique ?
-Le plus important pour toi chez un copain/copine ?
-Ton rêve ?
-La personne que t'admires le plus ?
-Ta nourriture préféré ?
-Ce que tu déteste chez les gens ?
-Ton livre préféré ?
-Ton personnage de série préféré ?
-Comment serais ta vie dans un monde post-apocalyptique ?
-Et enfin... A choisir entre tu vas jamais en cours tu restes dans ton lit toutes la journée mais tu fais que dormir et pouvoir manger absolument TOUT sans AUCUN problèmes de santé ni aucune contrainte mais tu garde ta vie d'écolier ou d'étudiant ou d'employés avec les pb du boulot ? 

Je taggues :

-XFirst
-XxMamzellemoixX (Fin Manon quoi ^^)
-RuggeroPasquarelli
-Uncontrol
-SigoAdelante
-cutetini
-Fashi0n
-Niall-Horan-And-1D

Voilà, bisous ^^

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#Posté le mardi 22 novembre 2016 13:13

♕RPG en collaboration avec Tini-Martina06♕

Cet article remixé n'est plus disponible.

Remix de  anonyme

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#Posté le samedi 19 novembre 2016 17:20

Innocente : Chapitre 7: Saison 2

Innocente : Chapitre 7: Saison 2
(Pour ceux qui veulent de la musique : Ici et Ici )
 
 
Chapitre 7
 
Après presque une semaine d'absence au lycée, j'ai repris les cours. Jorge me suit toujours à la trace et ça commence à devenir agaçant. Mechi à compris qu'il se passait un truc, sûrement parce que Fran lui à dit, et elle a décidée de venir me parler à la pause. Seules à seules. Je ne suis pas sûre que Jorge soit de cet avis, mais j'en ai rien à faire. Nous ne nous sommes plus échangé de mot depuis des jours. Même pas un bonjour. Cependant, il a tenu à venir m'embrasser la joue, chaque soir, et chaque matin. Il me fait toujours de l'effet, puisqu'a chaque fois que ces lèvres effleurent ma peau, mon corps entier frissonne. Si on continue comme ça, je vais craqué bien avant d'avoir eu le temps de me remettre de ma crise. Je n'ai pas parler à ma mère non plus. A chaque fois que je passe devant elle, ses yeux s'arrondissent comme si elle voyait un fantôme et ça m'énerve. Fran me dit à peine  bonjour et c'est si froid que j'en déduis qu'il m'en veut.
Quand je croise Diego dans le couloir, ça me fait tout drôle. Il me regarde dans les yeux, moi aussi, mais je ne peux m'empêcher de penser que c'était une connerie. Et que je suis un monstre. Il sait très bien que je ne ressens rien pour lui, pourtant il n'a pas cherché à me stopper. Et même si j'étais la première à le vouloir à ce moment là, je continue de penser que c'était malsain. Je n'ai pas le droit de faire. Ni à lui, ni à Jorge. Ils m'aiment tout les deux et moi je ne sais plus ou j'en suis. J'arrive à la cafétéria et Mechi me fais un signe de la main, je me tourne vers Jorge qui me regarde comme avant quand on ne se connaissait pas.
 
-Tu peux nous laisser parler, toutes les deux ? Mets toi à une autre table, mais elle et moi on en a besoin. S'il te plait.
 
Il acquiesce et va s'asseoir ailleurs. Je rejoins la banc sur lequel est Mechi et lui fait la bise, elle me regarda et engage directement la conversation.
 
-Tu as deviné, hein ? Tu le sais ?
-Tu pensais sérieusement que vous pourriez me le cacher longtemps ? Aller, ça fait combien de temps ?
-Bientôt trois semaines.
 
Et même si je lui en veux de ne m'avoir rien dit, je souris. Parce que je heureuse pour elle et mon frère, et parce que je ne peux pas être si égoïste de penser seulement à faire la gueule à ma meilleur amie. Nous sourions toute les deux en faites et nous comptons jusqu'à trois... avant que je me mette à crier haut et fort :
 
-Oh mon dieu tu sors vraiment avec Fran !
 
Elle rougis et rigole, j'ai toujours eu ces réactions là. Et ça n'a pas changer, contrairement à tout le reste. Quelques personnes nous dévisagent mais nous les ignorons. Je redeviens sérieuse peux après et Mechi me demande ce que je voulais lui dire en venant ici. Alors je raconte tout, mon sentiment de mal être envers Jorge, ma crise contre ma mère, le moment passé Diego, absolument tout. Mais je n'arrive pas à finir de parlé qu'une larme roule sur ma joue. Mon dieu, pourquoi suis-je aussi sentimental. J'essuie rapidement mes larmes et Mechi me sert contre elle. C'est tellement puérile la façon dont je me jette contre elle, comme si elle était ma mère. J'ai besoin d'être rassurée par quelqu'un, par une personne féminine, par ma famille. Et même si elle n'en fais pas partie, c'est tout comme. Je me laisse allée à quelques sanglots, peu être trop fort, mais j'en ai besoin. Je me vide de tout de la meilleure manière. Mieux vaux que je pleurer, plutôt que je tape quelqu'un. J'ai l'impression d'être bipolaire. C'est horrible. Une main se pose sur mon épaule et la chaleur qui s'en dégage est si forte que je n'ai besoin de regarder la personne pour savoir qui c'est. Je pose le crâne sur son torse et le laisse me serrer doucement en passant ses doigts dans mes cheveux. Comme il devrait le faire plus souvent. J'ai l'impression de ne pas me remettre d'un traumatisme, pire que tout, c'est pas vraiment une impression. Il s'assoit et me serre encore plus fort, continuant de gratifié mes cheveux de caresses.
 
-Pleure, Tini, pleure... Fait-il à mon oreille.
 
Je sanglote sans remord depuis bien cinq minutes et je ne me sens pas près d'arrêter. Dans quelques minutes, les larmes feront place à la fatigue et je serais épuisée. Mais de toute façon, je ne suis tellement pas moi-même depuis quelques jours que ce n'est pas surprenant. Pour personne.
 
***
 
J'ignore totalment comment j'ai réussis à tenir la journée mais je viens de finir la dernière heure que je devais faire. Nous entrons dans l'immeuble et je dois bien avouer que je suis reconnaissante à mon gardien pour ne pas avoir dis un mot durant le trajet. Encore en état de faiblesse mentale, je ne suis pas d'humeur à parler de mes sentiments. J'ouvre la porte de l'appartement et entre dans le salon. La commode vide me fait mal, et quand je rentre dans la cuisine pour prendre un verre, je suis transpercé de part en part par une douleur horrible. Le four démonté me fait un drôle d'effet, le micro-onde fissuré est encore plus ignoble. Seul le mixeur est encore valide. Tous ces objets hors d'usage son exactement comme mon coeur : en mille morceau. Je me revois tout jeté, hors de moi, et je suis obliger de me tenir au plan de travail pour garder l'équilibre. Je détourne les yeux vers la petite fille souriante dans le bras de sa mère accroché au frigo. Je veux revenir à cette époque, punaise.
 
-Martina ?
 
Ma mère passe la tête par la porte et ses yeux s'agrandissent en me voyant. Je pose mon verre sur le plan de travail et vais devant elle, elle à un mouvement de recul brusque. Un monstre, c'est le seul mot qui me vient à l'esprit. Je suis un monstre. Et une nouvelle fois, ma faiblese prend le dessus. Je me mets à pleurer et regarde ma mère. La porte d'entrée se ferme et j'entend des pas, peut-être Francisco. Je me concentre sur ma mère et la regarde dans les yeux.
 
-Je te demandes pardon, maman. Je suis désolée. Tu ne sais pas comment je m'en veux.
-Martina....
 
Le ton qu'elle prend se veux calme et ferme mais elle est trop touchée pour rester de marbre. Une larme s'échappe, elle ne fait rien. Mais son regard... Jamais une mère ne devrait regarder sa fille ainsi. Jamais de toute sa vie. Je l'ai brisée, tellement brisée. C'est ce que Jorge m'avait dit : Je l'ai détruite. Et par la même occasion, je me suis aussi détruite. Mes jambes se dérobent sous moi et je tombe à genoux. Je ne veux que pleurer et enlever cette douleur sur mon coeur, de partout en faite. C'est tellement dur, tellement horrible. Ma vue est brouillée par mes larmes et même si je suis silencieuse au début, je me met à pleurer comme une enfant qui fait un caprice. Mais avec plus de grave dans la voix et beaucoup plus de peine.
 
-Tini, dit une première fois ma mère et voyant que je me met presque à sangloter, elle reprend : Ma fille, pitié calme toi.
 
Mais c'est un effort trop lourds et compliqué à réaliser. Je vois mon frère passé dans la cuisine, je reconnais son pantalon et même si il est flous, je sais qu'il est choqué de me voir ainsi. Ma mère se met dans la même position que moi et me prend dans ses bras et me serrant encore plus fort que Mechi, à midi. Je met mon visage contre son épaule et sanglote jusqu'à l'étouffement. J'entends vaguement le nom de mon gardien prononcer par ma mère mais je fais tellement de bruit que je ne comprend la totalité de ma phrase. Ma mère embrasse mon crâne au moins cinq fois en un rien de temps et m'assure que ce n'est rien et que ça s'arrangera. Mais je ne peux pas le croire, j'y arrive pas.
 
PDV Jorge
 
Assis sur le canapé, je tiens ma tête entre mes mains et attend, péniblement que la crise de Tini s'arrête dans la cuisine. Les murs ne sont pas assez épais pour couvrir ses pleurs. Mais c'est encore pire que de ne rien entendre, parce que ça me tue. Je dis rapidement bonjour à Francisco et le regarde se diriger dans la cuisine. Il en ressort presque aussitôt et vient se mettre devant moi.  Le ton grave, il déclare :
 
-Tu peux aller aider ma mère s'il te plait ? Elle voudrait coucher Tini dans son lit mais elle n'y arrivera pas seule.
-Bien sûr.
 
Quand je me lève, impatient de l'emmener dans son lit pour pouvoir rester avec elle, Francisco m'attrape le poignet et me regarde avec ce genre de regard déstabilisant et sans sens.
 
-Je ne suis pas idiot, d'accord ? Je vois très bien ce qu'il y a entre toi et ma soeur.
-Je vais pas nier, si c'est ce que tu attends, Francisco.
-Je sais, tu n'es pas assez stupide pour ça. Ca m'est égale qu'elle sorte avec toi, mais aide là. Je t'en supplie. Je supporte pas de la voir comme ça. Et je déteste ce sentiment de malaise quand je suis près d'elle.
-Je te le promet, d'accord ?
 
Il hoche la tête et me lâche afin que j'aille dans la cuisine. Quand je rentre dans celle-ci, mon coeur se serre et j'ai l'impression qu'il va bondir hors de ma poitrine. Les joues de Martina sont rouges, sont nez tellement plus et des cernes immenses sont creusés sous ses yeux. Sa mère aussi pleure, mais je vois qu'elle essaie de rester forte, ce qui est quasiment impossible. De toute ma vie je n'ai jamais ressenti une émotion aussi forte, je n'arrive pas à comprendre pourquoi ces bruits de sanglots sont aussi insupportable. Je m'accroupie et, doucement, je porte Tini pour l'emmener dans sa chambre. Ses sanglots sont si gros qu'ils me font presque perdent l'équilibre à certains moment. Je la dépose sur son lit et me met juste derrière sa tête pour pouvoir lui caresser les cheveux. Je lui chuchote quelques mots pour essayer de la calmer mais c'est beaucoup plus compliqué que ce que je croyais. Elle me regarde par moment, les yeux injectés de sang et de larme. Ses cils sont très semblable à des brindilles d'herbes après la rosée du matin et pourtant, je ne peux m'empêcher de la trouvée magnifique. Je la tire doucement par les épaules et l'assoit sur mes genoux tout en la serrant contre moi. Elle se laisse faire, ses bras pliée conte mon torse et ce calme au fur et à mesure des balancements sur les côtés de mon corps. Je passe mes doigts à travers ses cheveux fins et ondulés pendant près de vingt minutes. Un instant, je crois qu'elle dors, mais non. Je prend son visage entre mes mains et la regarde en gratifiant ses joues d'une caresses de mes pouces. Elle me regarde puis baisse le regard qu'elle repose sur moi quelques seconde plus tard. Doucement, je dépose mes lèvres sur les siennes. Je veux juste retrouvés ses lèvres, cette délicatesse, cette innocence en elle. Ce n'est pas un vrai baiser jusqu'à ce qu'elle décide de ne pas laissé juste nos bouches superposés et m'embrasse avec tendresse. Je ferme les yeux quand ces doigts se pose sur ma nuque et qu'elle se colle encore plus à moi. Je sens son odeur délicate envahir mes narines et ses cheveux chatouille mon menton, mais franchement, j'adore cette sensation. Nous nous décalons peu après et je ne peux m'empêcher de mettre une mèche de ses cheveux derrière son oreille.
 
-Je suis désolé, fait-elle d'une voix roque et fatiguée.
-Chut, ne parle pas, d'accord ? Encore moins pour dire des bêtises.
 
Je lui donne un baiser tendre sur le front et la soulève pour l'allongé confortablement. Dix minutes plus tard, elle est endormie. Je regarde cet air innocent et pourtant si épuisé que son visage affiche, je passe mes doigts sur ses sourcils, ses tempes, ses joues, ses lèvres, son menton et sourit bêtement. La porte s'ouvre dans un grincement, désormais familier, et je retire rapidement mes doigts de son visage. Mariana me regarde, comme perdue, et je lui fait un sourire rassurant. Je me lève et indique à la mère de Tini que je reviendrais une heure plus tard. J'attend son approbation et descend pour aller chercher ma voiture que je démarre rapidement. Je conduis pendant dix minutes, jusqu'a un terrain vague ou personnes ne se rend jamais. Je suis seul. Ne parvenant pas à calmer mon stress, j'ouvre la boite à gant de l'auto, saisis une boite de médicament et en prend trois. Je range le tout et, en levant la tête, m'aperçois qu'une voiture est arrivé. Je sors, les mains dans les poches, et m'approche du transport. Une brune en sors, avec un carré comme coupe. Cela fait-il si longtemps que je ne l'ai pas vu ? Non, ce doit être des rajouts. Son visage est comme changée, elle porte des lunettes de soleil assortis à la couleur cuivre de sa veste. Un sourire satisfait orne ses lèvres. Elle sait parfaitement que je distingue ses formes sous sa robe moulante et elle sait que j'adorais ça. Je sers les poings, je déteste quand elle fait ça. C'est une belle manipulatrice, très belle. Je me force à penser à Martina, je ne lui ferais jamais ça. Elle retire ses lunettes et me regarde dans les yeux, putain. Je me mords les lèvres pour éviter d'ouvrir la bouche. Il faut vraiment que je me ressaisisse et très vite. Elle s'approche, pose une main sur ma joue et embrasse l'autre tout doucement, de façon à ce que ses lèvres s'imprime bien sur ma peau. Elle colle une de ses joues à la mienne et me chuchote à l'oreille :
 
-Alors, chéri, tu as réfléchis ?
 
Et quand sa langue caresse mon lobe d'oreille, je perd le contrôle et l'attrape par la taille. Faîte qu'elle me pardonne.


***
Voilà le 7 ème chapitre de la deuxième saison d'Innocente !
J'espère qu'il vous plait <3
Je mettrais la suite à 25 j'aimes et au moins dix commentaires ^^
Même si les vacances approches, j'ai encore beaucoup de boulot et je vais devoir préparé mon voyage en espagne (*-*). Donc je risque d'être super absente...
Mais je continue d'écrire dès que je peux !
Voilà, bisouuuuuuus 
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#Posté le lundi 10 octobre 2016 15:22

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